L’anté-diluvien Jean Paul Pigasse (accessoirement le propriétaire véritable du Congo Brazzaville) vient de monter en première ligne pour défendre sa dictature.
Jean-Paul Pigasse c’est un peu le Boss du dernier niveau. C’est le patron de la Pravda tropicale.
Sa lettre ouverte à Alain Mabanckou est un papier insipide. Elle renouvelle la tradition des français aveuglés par les dictatures. Un parfum d’apologie du totalitarisme qui fleure la compromission maoïste des années 70 ou la Salute Camarade Pol Pot. Dans le Congo rêvé de l’ancêtre Pigasse pas de prisonniers politiques, pas de foules faméliques, pas de jeunesse assassinée par la milice politique. Enfin, pas d’apartheid Ethnique ni de crise économique. Comme nous aimerions vivre dans cette dimension parallèle où la dictature est synonyme de progrès et d’humanisme !
Sassou joue sa dernière carte, Pigasse est dans l’arène, à nous d’amplifier la charge et le mouvement pour obtenir la Liberté pour ce Congo meurtri.
Le Congo sera libre et Pigasse le Congolais sera jugé pour ses activités criminelles par la justice Congolaise. Les chefs d’accusations seront une liste à la Prévert : Complicité de crime contre l’humanité, haute trahison, recel et trafique d’influence, corruption etc.
La Coordination du Collectif Sassoufit