
A l’occasion du Milipol, salon réservé aux professionnels du secteur de la sécurité intérieure des États, qui s’est tenu du 21 au 24 novembre dernier à Paris, le général Philippe Obara, patron de la DGST a effectué le déplacement pour la capitale Française à la tête d’une forte délégation.
L’Etat congolais via le sécurocrate Obara, en plus des équipements conventionnels, a acquis des « équipements de torture illégaux ». On note notamment des Matraques à pointes, des boucliers à décharges électriques, des fourches anti-émeute, des bracelets à impulsion électrique » présents sur un stand chinois.
Cet inventaire serait anecdotique si ces instruments de torture effrayants tels que des matraques électriques et ces lourdes entraves pour les pieds n’étaient pas interdits dans l’UE.
Dès lors une question se pose. Pourquoi a-t-on accepté la vente en plein Paris de ce type d’équipement à une dictature sanguinaire ? Qu’en pensent l’Elysée et le FMI ?
Source : DGST CONGO