
Le 25 mars dernier, sourd aux cris des congolais pour cause de Sonotone déchargé et n’écoutant que son courage, le conseiller Diversité des Ex-UMPistes a appelé son vieil ami Denis Sassou Nguesso pour le féliciter d’avoir réussi son coup Chaos.
Monsieur Stirn lit-il seulement la presse ? Il aurait vu que son presque homologue du Parti Socialiste a condamné sans ambiguïté aucune la mascarade électorale du 20 mars dernier à Brazzaville. Il saurait alors que son ami tente d’imposer un holdup électoral au prix des larmes et du sang des congolais. Intimidations, arrestations, tortures, traitements inhumains et agressions de journalistes internationaux sont les péchés mignons de ce totalitarisme tropical.
Monsieur Stirn a connu la colonie, il a connu l’époque Foccart, il reste un nostalgique du Yabon Banania. Il est ce visage hideux de la droite qui n’arrive pas à se réinventer, il est ce purin d’une droite fascinée par les régimes (de bananes) forts.
Par ce coup de fil monsieur Stirn a délibérément positionné son parti comme un ennemi mortel de la liberté du peuple Congolais, de la liberté de tout Homme.
Nous incitons vivement la presse internationale à mettre au jour les liens qui lient cette âme damnée de la françafrique au cobra suprême de l’Alima.
La bataille de Brazzaville se gagnera peut être par la chute du Stirn de la rue Vaugirard.
Vive le Congo Libre !